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Marion3351, Posté le jeudi 19 juin 2014 11:18
sfpoapo
a écrit : "Une blonde, voulant gagner un peu plus d'argent, décide de se présenter comme 'femme à tout faire' auprès de ses voisins.
"
Elle se présente à la première maison, et demande au propriétaire s'il Aurait du travail pour elle. "Oui, j'aurais bien besoin de quelqu'un pour repeindre mon porche. Vous Prenez combien? " "50 euros!" répond la blonde.
L'homme accepte et lui dit que la peinture et tout ce dont elle a besoin est dans le garage.
L'épouse du propriétaire, qui a entendu la conversation, lui demande :
"A-t-elle réalisé que notre porche fait tout le tour de la maison?"
"Je ne sais pas, et tant pis pour elle", répond-il.
"Tu as raison. "
Peu de temps après, la blonde vient à la porte pour recevoir son paiement.
"Vous avez déjà finit?" demande l'homme.
"oui," répond-elle,"et comme il restait de la peinture, j'ai même passé une deuxième couche."
L'homme, étonné, sort de sa poche les 50 euros et les lui donne.
"Ah, au fait," ajoute la blonde," ce n'est pas une Porsche, mais une Jaguar."
mdr la galere
je te souhaite une bonne soiree
une bonne nuit
doux reves
amities
le raleur
MDR
carine1101, Posté le mardi 17 juin 2014 19:01
(l) Bonsoir (l)
Je passe dans ton monde
Déposer une pluie d' étoiles
Sur la rivière de notre amitié...
Je te souhaite une bonne soirée
Douce nuit , Doux rêves étoilée..
Une pluie de tendresse..
Sur un rail de douceur..
Et une corbeille de bisous du (l)
ton amie (l)(l) Carine (l)(l)
jean-pierre742, Posté le mardi 17 juin 2014 18:39
ღ BONSOIR....
ღ Voici mon Petit message en douceur
ღ Pour te souhaiter du fond du (l)
ღ Une très belle soirée ☼
ღ Remplie de bonheur et de chaleur
¨¨¨(´¯¯`)¨¨¨¨(´¯¯`)
¨¨¨(¸¸¸(¯¯¯¯¯)¸¸¸)¨¨¨(¯\¥/¯)
¨¨¨¨¨.(¯(•)¸(•)¯).¨¨¨¨¨(_/Ï\_)
¨¨¨¨¨(¸.=(♥)=.¸)♥♥ BISOUS ♥♥
¨¨¨(¯¯/```♦´´´\¯¯)¨¨¨¨¨¨¨¨(¯\¥/¯)
¨¨¨°°(¯´´˜˜˜``¯)°°¨¨¨¨¨¨¨¨(_/Ï\_)
¨¨¨¨((,,‗‗\¯/‗‗,,))˜`✿..¸.´`✿·`.¸✿♥ton ami jean-pierre ...
sfpoapo, Posté le mardi 17 juin 2014 13:53
Une blonde, voulant gagner un peu plus d'argent, décide de se présenter comme 'femme à tout faire' auprès de ses voisins.
Elle se présente à la première maison, et demande au propriétaire s'il Aurait du travail pour elle. "Oui, j'aurais bien besoin de quelqu'un pour repeindre mon porche. Vous Prenez combien? " "50 euros!" répond la blonde.
L'homme accepte et lui dit que la peinture et tout ce dont elle a besoin est dans le garage.
L'épouse du propriétaire, qui a entendu la conversation, lui demande :
"A-t-elle réalisé que notre porche fait tout le tour de la maison?"
"Je ne sais pas, et tant pis pour elle", répond-il.
"Tu as raison. "
Peu de temps après, la blonde vient à la porte pour recevoir son paiement.
"Vous avez déjà finit?" demande l'homme.
"oui," répond-elle,"et comme il restait de la peinture, j'ai même passé une deuxième couche."
L'homme, étonné, sort de sa poche les 50 euros et les lui donne.
"Ah, au fait," ajoute la blonde," ce n'est pas une Porsche, mais une Jaguar."
mdr la galere
je te souhaite une bonne soiree
une bonne nuit
doux reves
amities
le raleur
un-bebe-bebe-reborn, Posté le lundi 16 juin 2014 10:12
La Nature à l’Homme
Dans tout l’enivrement d’un orgueil sans mesure,
Ébloui des lueurs de ton esprit borné,
Homme, tu m’as crié : « Repose-toi, Nature !
Ton oeuvre est close : je suis né ! »
Quoi ! lorsqu’elle a l’espace et le temps devant elle,
Quand la matière est là sous son doigt créateur,
Elle s’arrêterait, l’ouvrière immortelle,
Dans l’ivresse de son labeur?
Et c’est toi qui serais mes limites dernières ?
L’atome humain pourrait entraver mon essor ?
C’est à cet abrégé de toutes les misères
Qu’aurait tendu mon long effort ?
Non, tu n’es pas mon but, non, tu n’es pas ma borne
A te franchir déjà je songe en te créant ;
Je ne viens pas du fond de l’éternité morne.
Pour n’aboutir qu’à ton néant.
Ne me vois-tu donc pas, sans fatigue et sans trêve,
Remplir l’immensité des oeuvres de mes mains ?
Vers un terme inconnu, mon espoir et mon rêve,
M’élancer par mille chemins,
Appelant, tour à tour patiente ou pressée,
Et jusqu’en mes écarts poursuivant mon dessein,
A la forme, à la vie et même à la pensée
La matière éparse en mon sein ?
J’aspire ! C’est mon cri, fatal, irrésistible.
Pour créer l’univers je n’eus qu’à le jeter ;
L’atome s’en émut dans sa sphère invisible,
L’astre se mit à graviter.
L’éternel mouvement n’est que l’élan des choses
Vers l’idéal sacré qu’entrevoit mon désir ;
Dans le cours ascendant de mes métamorphoses
Je le poursuis sans le saisir ;
Je le demande aux cieux, à l’onde, à l’air fluide,
Aux éléments confus, aux soleils éclatants ;
S’il m’échappe ou résiste à mon étreinte avide,
Je le prendrai des mains du Temps.
Quand j’entasse à la fois naissances, funérailles,
Quand je crée ou détruis avec acharnement,
Que fais-je donc, sinon préparer mes entrailles
Pour ce suprême enfantement ?
Point d’arrêt à mes pas, point de trêve à ma tâche !
Toujours recommencer et toujours repartir.
Mais je n’engendre pas sans fin et sans relâche
Pour le plaisir d’anéantir.
J’ai déjà trop longtemps fait oeuvre de marâtre,
J’ai trop enseveli, j’ai trop exterminé,
Moi qui ne suis au fond que la mère idolâtre
D’un seul enfant qui n’est pas né.
Quand donc pourrai-je enfin, émue et palpitante,
Après tant de travaux et tant d’essais ingrats,
A ce fils de mes voeux et de ma longue attente
Ouvrir éperdument les bras ?
De toute éternité, certitude sublime !
Il est conçu ; mes flancs l’ont senti s’agiter.
L’amour qui couve en moi, l’amour que je comprime
N’attend que Lui pour éclater.
Qu’il apparaisse au jour, et, nourrice en délire,
Je laisse dans mon sein ses regards pénétrer.
- Mais un voile te cache. - Eh bien ! je le déchire :
Me découvrir c’est me livrer.
Surprise dans ses jeux, la Force est asservie.
Il met les Lois au joug. A sa voix, à son gré,
Découvertes enfin, les sources de la Vie
Vont épancher leur flot sacré.
Dans son élan superbe Il t’échappe, ô Matière !
Fatalité, sa main rompt tes anneaux d’airain !
Et je verrai planer dans sa propre lumière
Un être libre et souverain.
Où serez-vous alors, vous qui venez de naître,
Ou qui naîtrez encore, ô multitude, essaim,
Qui, saisis tout à coup du vertige de l’être,
Sortiez en foule de mon sein ?
Dans la mort, dans l’oubli. Sous leurs vagues obscures
Les âges vous auront confondus et roulés,
Ayant fait un berceau pour les races futures
De vos limons accumulés.
Toi-même qui te crois la couronne et le faîte
Du monument divin qui n’est point achevé,
Homme, qui n’es au fond que l’ébauche imparfaite
Du chef-d’oeuvre que j’ai rêvé,
A ton tour, à ton heure, if faut que tu périsses.
Ah ! ton orgueil a beau s’indigner et souffrir,
Tu ne seras jamais dans mes mains créatrices
Que de l’argile à repétrir.
Nice, novembre 1867
Louise Ackermann, Poésies Philosophiques
jean-pierre742, Posté le jeudi 19 juin 2014 16:14
****Bonsoir mon ami(e)***
*******Ma petite visite du soir*****
****pour voir si t'as passé une bonne journée***
*******j'espère que tu va bien****
***je te souhaite une bonne soirée****
*******une merveilleuse nuit****
***et pleine de jolis rêves****
******bisous de ton ami jean-pierre****